Toujours en marge de la
fête du boeuf, j'ai pu visiter la villa musée de Païta qui témoigne de la vie en brousse, à Païta, mais offre également un panorama des évènements et activités de la société venue en Nouvelle-Calédonie au XIX
ème siècle pour y trouver une vie meilleure.
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Petite histoire :
1858, bien avant l'arrivée des bagnards (1864), la France désire peupler sa colonie ultramarine.
James Paddon, ancien Capitaine de la Royal Navy devenu commerçant, éleveur de bétail, santalier, ayant de nombreuses relations, est installé depuis quelques années en Nouvelle-Calédonie ; il se verra confier par l'administration française, la tâche de faire venir des colons (
les colons Paddon) pour peupler la commune de Païta.
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Ceux-ci seront essentiellement des Australiens ou des émigrants européens (A
llemands, Italiens) ayant raté leur installation en Australie : ils obtinrent des terres en échange de leur installation.
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La villa musée de Païta, également nommée villa-musée de Gadji retrace le cadre de vie des premiers colons arrivés sur le Territoire comme James Paddon.
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En savoir plus :
La villa musée de Païta, administrée par l'Association Témoignage d’Un Passé (ATUP) n'est ouverte qu'occasionnellement lors de journées festives, fêtes du patrimoine ou sur demande des scolaires.
J'ai supprimé mon premier message, car il est parti trop vite.
RépondreSupprimerC'est émouvant, j'avais une grande tante qui était originaire de Nouméa. Elle est décédée depuis plus de dix ans, mais je l'ai connu. Elle est née au début du XXième siècle, mon grand oncle et ma grande tante se sont mariés à Nouméa. C'est une raison, pas la seule mais peut-être, pour laquelle j'ai un attachement pour ton journal.
je comprends :) il me reste encore beaucoup de (vieilles) choses à voir à Nouméa...elles vont certainement te passionner comme moi !
RépondreSupprimerJe suis certaine que l'on pourrait écrire un bon roman sur cette époque.
RépondreSupprimertu m'ôtes les mots de la bouche :) j'y pense très fortement.
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