le phare Amédée, photo octobre 2010 |
Historique
Début des années 1860 : il faut signaler la Nouvelle-Calédonie, tout comme les côtes intéressant le monde du commerce.
La France est alors spécialiste des phares, et l'entrepreneur Rigolet propose un projet des plus intéressants, innovateur et ambitieux : un phare "clef en main", démontable, qui est construit au plus près des ressources avant d'être reconstruit à destination finale.
Il faudra 400 caisses et 3 mois de traversée au phare pour arriver à Port-de-France (ancien nom de Nouméa). Le phare est enfin érigé en 1865.
la visite du phare est comprise avec la formule du Mary D en individuel : le prix est modique car 150F équivaut à 1,25 € |
La vie dans le phare
Le quotidien du gardien est passablement répétitif et ennuyeux, pour qui n'appécie pas la routine.
Allumer, entretenir le feu, respecter l'instruction de nettoyage de lampe et d'optique, noter les consommations d'huile et les dysfonctionnements à l'attention de l'ingénieur chargé des inspections.
gardien au quart - illustration de 1891- |
Je laisse, ici, mon petit mot concernant la photo des différents panneaux de "localisation" ! Hi, hi, c'est marrant et très intéressant de connaître la distance entre Paris et la Nouvelle-Calédonie, par exemple.
RépondreSupprimerOn retrouve bien là l'esprit des Iles, où les habitants ont besoin de se situer par rapport au reste du monde !
RépondreSupprimerLes phares m'ont toujours fait rêver. C'est une vie qui me conviendrait, moi qui suis assez solitaire. A condition d'avoir... internet...
RépondreSupprimerje crois que cela me conviendrait aussi ! avec tous pleins de livres et internet ! comme toi :)
RépondreSupprimerEt... des chats et des chiens... et mon MARI. :-)
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